Comptes-rendus
[retour à la liste] | vendredi, 23. janvier 2015 - vendredi, 23. janvier 2015
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Compte-rendu de la réunion Groupe LPO Chablais Colvert du 23 janvier 2015 |
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Évocation des espèces qui méritent une recherche particulière sur le Haut et Bas Chablais : la recherche des chouettes de montagnes intéresse Morgane Hay, Anne-Lise Diény et Michel, Violaine Gouilloux, Francine, Cédric Cordonnier, Michel Bonneau. La chevêche d’Athéna intéresse Elisabeth Rocheteau, Lise Barbu, Marie-Noëlle Bastard, Francine. Thierry Vallier voudrait installer un nichoir dans un verger non loin duquel il a observé un individu l’année passée. Cédric Cordonnier veut rechercher l’Aigle royal. Il a déjà été contacté par Jean Pierre Matérac et je confirme sa volonté de participer au suivi. Pour les deux espèces de rapaces nocturnes, une petite formation à la repasse et à la reconnaissance des biotopes sera effectuée à priori par René : début février pour les chouettes de montagne et début mars pour le Chevêche d’Athéna.
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Hirondelles de fenêtre et Hirondelles de rochers : des hirondelles de fenêtre se sont installées en milieu rupestre près du barrage du Jotty. Cette présence semble repousser vers d’autres lieux de nidification l’Hirondelle de rochers, qui se reporte sur les constructions humaines pour fixer son nid. Chose étonnante, cette dernière construit son nid sur les parties en bois des maisons, notamment à La Baume, Vailly et La Tour. Il serait intéressant de faire un inventaire en d’autres lieux, comme Abondance par exemple où elle niche dans l’abbaye. Soyez vigilant et recherchez les nids quand vous voyez des hirondelles de rochers voler dans les villages. Les hirondelles de rochers reviennent en mars.
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Les données des oiseaux des prairies et des espaces agricoles du Bas Chablais ne sont pas assez nombreuses : ces milieux sont insuffisamment fréquentés. Recherchons les alouettes des champs, les corbeaux freux, les linottes mélodieuses, les tariers pâtres, les verdiers d’Europe, les chardonnerets, les pigeons ramiers, les grives draines, les grives mauvis, les grives litornes, les pies-grièches grises…Durant les recherches spécifiques, pensez à les noter et observez leur comportement.
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La migration prénuptiale au Hucel commence vers la mi-février. Un spoteur est embauché pour l’observation en semaine. Le relais est passé aux bénévoles pour le week-end. Le premier week-end est le 21 et 22 février.
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Lise Barbu nous informe que le site d’écrasement des amphibiens d’Habère Poche est bien surveillé par l’ONEMA. Des amendes fortes ont sanctionné le braconnage des batraciens. Pour la pose de filets, le travail est très important. La distance à équiper est très longue : environ 800m. Seuls les lieux d’arrivée des amphibiens sur les milieux de pontes seraient équipés. Le coût du matériel et le coût humain sont très importants. Lise veut bien nous conseiller pour les batraciens et peut-être nous orienter vers des recherches plus précises, mais à son rythme.
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Jean-Jacques Belley nous commente les chiffres du comptage au lac Léman du 17 janvier de cette année. Les oiseaux d’eaux sont en effectif très bas. Par contre, les martins pêcheurs sont plus nombreux.
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Présentation d’une « forge » de Pic épeiche. Trois pivotes ont été placées fermement par un pic-épeiche dans une branche d’épicéa fendue dans le sens de la longueur. Bien tenues dans cette fente, le pic épeiche a pu les becquer, sans qu’elles ne bougent, pour en extraire les graines d’épicéa. Le terme pivote est savoyard : en français, traduisez par cône d’épicéa. Une description de la façon de détacher et d’emmener les pivotes jusqu‘à une forge a été faite.
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Christophe Charobert recherche, pour la réunion mensuelle de la LPO Haute-Savoie de septembre 2015, une salle pouvant recevoir une cinquantaine de participants. Pour l’instant, les salles trouvées sont payantes de 100 à 200 euros environ. Il essaie de faire diminuer le coût en contactant des connaissances.
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Présentation d’un film sur le Tarier des prés et la conservation des prairies fleuries et d’un autre film présentant une «forge» de Pic mar dans laquelle ce dernier becque une cerise.
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publié le lundi, 2. février 2015 par Séverine Michaud |
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